CONSOLATRICE

Alors que l’âge pèse sur mes épaules, ces premiers jours de novembre me confrontent à l’inéluctabilité de ma finitude. La silhouette de la mort se déploie maintenant au bout de mon chemin. Elle m’attend, comme chacun. Je sais cela depuis mon enfance quand j’ai vu mon père foudroyé par un infarctus. La mort, alors m’a empli de douleur, mais elle ne m’effraie plus.





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