ARIÈGE

Ariège,
terre de mes ancêtres
Qui un jour d'hiver m'a vu naître,
Avec ses verts vallons
Où paissent vaches et moutons.
Ici pas de monotonie,
En chercher serait une utopie.
Villages nichés au creux d'un coteau,
Pêcheurs suivant le cours d'un ruisseau.
Routes grimpant
sur les hauteurs,
Où la haut on respire le bonheur.
Pics aux barres rocheuses tranchantes,
Domaines des isards gambadant.
Un château,
surplombant une cité,
Vestige du passé, monte la garde,
Soldat de pierres que nul ne bombarde,
Dont un son et lumière évoque la fierté.
Ariège
tu es toujours dans mon cur,
Toi qui m'as donné tant de bonheur,
Bien que tu sois éloignée de moi
Je pense toujours à toi.
JCM 18 avril
2012
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